test fiche caly

Je me trouve à l’Institut, un lieu que j’adore et ou je me sens en sécurité malgré tout ce que s’y passe depuis peu. Depuis que nous somme arrivé à Oblivion l’Institut est toujours en alerte, car tous les nouveaux « inhumains » ne sont pas reconnus par nos logiciels de détection. Je n’y fais plus attention. J’attends que l’on me demande d’aller voir ce qu’il y a, le pourquoi du comment ça sonne, mais ça se faisait de plus en plus rare. Je vois Alec de temps en temps et April aussi.

Je ne sais pas pourquoi je me sens de plus en plus seul avec rien à combattre. Mon objectif principal, tuer Valentin, est anéanti, car il n’est pas venue avec nous dans cet univers.
Je me retrouve donc à gérer l’Institut avec Alec. Pas que ça me déplaise, mais nous n’avons pas les mêmes idées sur notre venue et arriver ici. Je pense que nous avons été transporté dans un autre monde et lui pense que Valentin nous as jeté un sortilège via l’un de ces magiciens. Mais ça me semble trop gros et impossible.

Bref. Je me trouve dans ma chambre, à regarder le plafond avec, comme fond sonore, la télévision sur je ne sais quelle chaîne, mais je m’en fiche. Je réfléchis à tout ce qui se passe. Aux personnes qui me manque comme Izzy ma petite sœur et Max mon petit frère. Je crois même qu’au plus profond de moi, bien caché, les parents d’Alec me manque… L’alarme de l’Institut me fait sortir de mes songes, car cette fois-ci, c’est l’alerte intrusion. Nous l’avons mise en place après que le démon qui à possédé Alec pour qu’il tue la mère de Clary et lorsque la  petite Madzie as tué des Shadowhunter ai réussis à entrer.

On nous a rabâché les oreilles avec cette sonnerie atroce. Je me lève donc rapidement mettant directement les pieds dans mes chaussures de combat. Je prends ma veste noir de protection et attrape mon poignard séraphique qui ne s’allume plus à mon contact, mais au moins elle a une lame parfaite pour tuer n’importe qui. Je descends les marche quatre par quatre et arrive devant les gars qui rigolent bien devant une jeune fille, qui doit avoir à peu près mon âge. Je finis par en attraper un par l’épaule et lui demande ce qui se passe. Il me rit au nez en me disant.

- La demoiselle ici présente demande son oncle Jace. Donc toi, vu qu’il n’y a que toi qui porte ce nom-là.

Je finis par lâcher l’homme et te regarde de haute en bas. Si je suis ton oncle, c’est que tu dois venir d’une réalité extérieure à la nôtre, donc d’un autre monde. Mais lequel de mes frères et sœurs a eu un enfant ? Je finis par pousser les deux hommes en leur demandant de partir et d’éteindre cette fichue alarme et surtout, je leur dis que je vais m’occuper de toi. Je te regarde ensuite droit dans les yeux et lance avec une voix assez hautaine :

- Tu es la fille de qui ?